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3 fausses idées sur la pornographie

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3 fausses idées sur la pornographie

La pornographie fait partie intégrante du quotidien de plusieurs hommes et de plusieurs femmes. Pourtant, une pléthore de mythes et de fausses idées existe sur ce type de contenus vidéo. Cela empêche bon nombre de personnes d’explorer le potentiel de la pornographie. Découvrez ici quelques-unes de ces idées erronées.

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La pornographie participe à la déstabilisation des relations amoureuses

Regarder les autres faire l’amour peut aider un couple à améliorer ses performances érotiques. Cela incite chaque amant à mieux communiquer sur ses fantasmes. Sur le site povr, vous trouverez, en l’occurrence, du contenu adulte de très haute qualité. Cela participera à faire dissiper les sentiments de honte sexuelle que l’un des partenaires peut avoir développés. En réalité, ce sont d’autres facteurs qui pourrissent l’ambiance dans un couple. C’est notamment la colère ou les fausses croyances que l’un des partenaires tente d’imposer à l’autre. Cela ne concerne en rien la pornographie.   

La pornographie génère des dysfonctionnements érectiles

Aucune recherche scientifique n’a prouvé le fait. L’idée selon laquelle les séquences vidéo d’accouplement entre professionnels causeraient un dysfonctionnement érectile se révèle fausse. Cela s’apparente beaucoup plus à une campagne anti-pornographie. L’angoisse de la performance et bien d’autres facteurs peuvent entraîner des troubles érectiles, pas le porno. D’ailleurs, aucune étude sérieuse n’a révélé une panne sexuelle générée par le visionnage de la pornographie. Elle n’engendre pas non plus des problèmes mentaux chez l’homme.

La pornographie rend les hommes dépendants et impulsifs

L’OMS est restée depuis toujours intraitable sur la question. Les lobbyings religieux ont essayé en vain de l’inciter à faire pencher la balance de leur côté avec des recherches scientifiques contestées par d’autres instituts de recherche réputés. La pornographie ne crée aucune dépendance sexuelle chez le visionneur, pas plus qu’elle ne produit chez lui un comportement impulsif.

Parlant du supposé caractère compulsif attribué aux vidéos pornos, il n’en est rien. Aucun homme ne devient violent envers les femmes après avoir visionné un film érotique. En effet, il est revenu, des suites d’observations scientifiques, que les personnes qui regardent des films pornographiques semblent plus respectueuses de la gent féminine. Ils sont tout sauf misogynes. Ils auraient même une meilleure opinion des femmes qu’ils considèrent comme leurs alter ego.    

Cela vient balayer du revers de la main cette théorie des anti-pornographies qui avancent que le porno chosifie le sexe faible en général et son vagin en particulier. Objectiver sur le sexe féminin n’est pas l’apanage de ceux qui visionnent les vidéos pornos. Tout le monde objective sur son partenaire. Cela participe de l’excitation sexuelle.